• Procès Verbal, le 14 juin 2010

    Assemblée Générale Extraordinaire de la fédération du Bas-Rhin de l'Union Nationale Lycéenne

    Suite a des problèmes internes au sein de l’Union Nationale Lycéenne, les militants UNL de la fédération du Bas-Rhin, avec les militants de 40 autres fédérations française et d’outre mer, ont fait le choix de dissoudre l’association UNL de leur département et de recréer un autre syndicat lycéen, plus démocratique et plus a même de répondre à leurs attentes : le Syndicat Général des Lycéens.

    Conformément à l'article 20 des statuts nationaux, et à l'article 24 des statuts fédéraux de l'UNL 67, la majorité des adhérents de la fédération du Bas-Rhin de l'Union Nationale Lycéenne se sont réunis ce lundi 14 juin 2010, dans le but de voter la dissolution de l'association.

    Aurélien Bonnarel, responsable fédérale de l'UNL67 depuis 1 an, a présidé la réunion au côté des membres du Bureau Fédéral.

    La dissolution de l'association <<fédération du Bas-Rhin de l'Union Nationale Lycéenne>> a été adopté à l'hunanimité.

    Par conséquent, l’Union Nationale des Lycéens du Bas-Rhin n’existe plus.

    Aurélien Bonnarel, le responsable fédéral
    Antoine Roth, le secrétaire général
    Clarisse Chabod, la trésorière administratrice


    L’unique syndicat lycéen de notre département est aujourd’hui le Syndicat Général des Lycéens du Bas-Rhin.

    Le Syndicat Général des Lycéens est un syndicat démocratique et rassembleur qui a pour objectif de rassembler et représenter tous les lycéens, quels que soient leurs opinions politiques ou leurs croyances, qui souhaitent défendre une éducation publique et laïque, de qualité pour tous, et ainsi lutter pour une société plus juste et plus démocratique.
    Le SGL67 a été créé le 18 juin 2010 et la représentante départementale est Marie Hertzog, élève en terminale au lycée Louis Couffignal à Strasbourg et vice présidente du CVL de celui-ci.

    Plus d'infos sur :




    << Ensemble, protégeons notre éducation, luttons pour notre avenir, construisons la société de demain ! >>


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  • Union Nationale Lycéenne du Bas-Rhin
    lundi 14 septembre 2009,

    Cher(e) camarade,

    L'Union Nationale Lycéenne du Bas-Rhin t'invites à son Assemblée Générale le vendredi 18 septembre, à 18h30 au snack Michel (avenue de la Marseillaise à Strasbourg). Cette Assemblée aura pour ordre du jour :

    • Présentation de l’UNL pour les nouveaux arrivants.
    • Débat sur le droit de vote à 16 ans.
    • Point d’étape sur la campagne de rentrée
    • Mobilisations à venir
    • Points divers (réadhésion…)

    Nous espérons te voir à l'AG, ramène du monde !

    Le Bureau Fédéral.



    --
    Aurélien Bonnarel
    Responsable Fédéral de l'UNL 67
    06 37 32 73 62, unl67@unl-fr.org


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  •  

     Strasbourg, le 7 septembre 2009

    Communiqué :

     

    Une rentrée mouvementée pour les lycéens !

     

    Tout comme les élèves et les professeurs, le nouveau ministre de l’éducation, Luc Chatel, a fait sa rentrée la semaine dernière. Il a annoncé la poursuite de la politique de Xavier Darcos et des réformes qu’il a engagées.

    Ainsi, les suppressions de postes continuent : 13500 cette année ; 16000 programmés pour la rentrée prochaine. Cumulés, entre 2007 et 2010, ce sont plus de 49 000 postes qui auront été supprimés (6 % des effectifs) alors que cette année, on enregistre une hausse du nombre d’élèves de plus de 14 000 tous niveaux confondus. Tous ces postes supprimés sont autant de personnel et de professeurs en moins pour permettre à l’école d’assurer sa mission : permettre aux élèves de devenir de vrais citoyens, doués d’un esprit critique et capables de prendre en main notre avenir.

    De plus, l’agenda concernant la réforme du lycée, fixé par le ministre le 26 août dernier semble indiquer que le temps alloué aux concertations sur la réforme du lycée est insuffisant. En effet, l’UNL 67 déplore qu’une fois encore le calendrier soit trop court pour pouvoir créer un véritable consensus au sein de la communauté éducative pour améliorer le lycée. L’UNL 67 tient à rappeler qu’aucun passage en force ne sera toléré et que le dialogue et la prise en compte des revendications de la communauté éducative sont des conditions indispensables à la tenue d’une réforme applicable.

    Par ailleurs, la réforme du lycée telle qu'elle avait été prévue par Xavier Darcos est testée dans 123 lycées de France, alors même que le gouvernement annonçait vouloir « reprendre à zéro » le projet de réforme. Ce genre de pratiques est inacceptable et ne favorise absolument pas un dialogue serein et constructif entre le gouvernement et la communauté éducative.

    C’est dans ce contexte que l’UNL 67, plus combative que jamais, va démarrer sa campagne de rentrée avec des  « opérations tables devant les lycées » dans les établissements du centre de Strasbourg, mais aussi à Bischheim, Molsheim et Sélestat. L’UNL 67 discutera et informera les lycéens des mesures régressives du gouvernement, ainsi que sur leurs  droits qui sont malheureusement encore aujourd’hui régulièrement bafoués par les administrations.

                                                                                                                                       


    --
    Aurélien Bonnarel
    Responsable Fédéral de l'UNL 67
    06 37 32 73 62, unl67@unl-fr.org
    http://unl67.blogg.org


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  • Les lycéens de l’UNL sont à l’offensive en cette rentrée

    Paris, le 07 Septembre 2009.



    L’Union Nationale Lycéenne, premier syndicat lycéen, lance aujourd’hui sa campagne de rentrée. Celle-ci vise à ne pas déconnecter les enjeux de la réforme du lycée du malaise grandissant dans la jeunesse.



    En cette rentrée 2009, la hausse du chômage et de la précarité qui touche les jeunes de plein fouet, le désengagement de l’état vis-à-vis des services publics et l’accroissement des inégalités mettent en évidence une véritable crise politique qui vient s’ajouter à la crise économique et sociale.



    Dans l’Education Nationale, le processus de réforme du lycée débute dans un contexte qui ne lui est pas favorable. Les suppressions de postes continuent (16 000 à la rentrée 2010) et le calendrier fixé pour la réforme est trop court.



    L’UNL demande au Ministre de l’Education Nationale l’arrêt des suppressions de postes et la mise en place d’un plan pluriannuel de recrutement, ainsi que le rallongement du calendrier de réforme à 2011, accompagné de l’ouverture de 4 chantiers pour le lycée sur :

    - l’accès et la réussite d’un plus grand nombre de jeunes au Lycée et l’orientation scolaire.
    - Des contenus et des pratiques pour une nouvelle vague de démocratisation du lycée.
    - Un lycée qui ne soit pas seulement un lieu d’étude mais qui soit aussi un véritable un lieu de vie, d’apprentissage de la citoyenneté et d’intégration.
    - Une réforme qui permette à un maximum de jeunes d’accéder à l’enseignement supérieur et d’y réussir.

    C’est pourquoi, dans le cadre de sa campagne intitulée « Pour mon avenir, je n’ai pas d’actions, j’ai mon éducation ! » et composée pour l’instant d’une pétition, d’un tract et d’une vidéo, l’UNL demande :

    - La mise en place d’un véritable Service Public d’Orientation ainsi que la scolarité obligatoire jusqu’à 18 ans pour favoriser la réussite de tous et une meilleure insertion des jeunes dans la vie professionnelle,
    - la création d’un ambitieux Système d’Aide Scolaire pour permettre aux élèves en difficulté d’avoir le même droit à la réussite que les autres lycéens,
    - La mise en place du droit de vote à 16 ans nous permettant de participer aux prises de décisions politiques et de nous faire entendre par une société qui n’a pas l’air de vouloir de nous


    La politique dogmatique et irresponsable menée par le gouvernement dans l’éducation nationale ne peut plus durer : il faut un changement de cap !

     



    Lucie Bousser
    Présidente de l'Union Nationale Lycéenne

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  • Actualités
    Oui, Monsieur le ministre : un pays qui croit en son avenir est un pays qui investit dans l’éducation !

    Paris, le 04 Septembre 2009.



    Nous constatons en cette rentrée 2009 les graves conséquences de la crise financière et économique en France. La hausse exceptionnelle du chômage et de la précarité accompagnée d’un désengagement progressif de l’Etat vis-à-vis des services publics provoquent une véritable crise sociale.

    Dans un tel contexte, un grand service public laïque d’éducation est une chance. Pourtant, il est victime de la politique dangereuse du gouvernement : l’appauvrissement de l’Ecole, la suppression de 50 000 postes dans l’Education nationale depuis 2002, la suppression de la carte scolaire, l’abandon de l’Education prioritaire, les menaces sur la maternelle… accentuent inlassablement les inégalités dans notre société et font peser sur les collectivités territoriales des obligations qui relèvent de l’Etat.

    Les organisations signataires ne peuvent accepter la programmation de 16 000 suppressions supplémentaires à la rentrée 2010. Elles demandent un changement conséquent de la politique de l’emploi public avec un arrêt des suppressions de postes et la mise en place d’un plan pluriannuel de recrutement, mais aussi l’abandon de la politique menée vis-à-vis de la carte scolaire.



    Les affirmations sur la nécessité d’investir dans l’Education et de réduire les inégalités doivent se traduire par des décisions en rupture avec les politiques menées ces dernières années.

    Après deux années durant lesquelles l’Ecole a été brutalisée, il est temps de renouer un réel dialogue constructif avec l’ensemble de la communauté éducative pour une école qui assure la réussite de tous et connaisse une nouvelle vague de démocratisation. Cela signifie qu’il faut traiter de façon ambitieuse la préparation du budget 2010, la formation des enseignants, les remplacements, la place de l’école maternelle, primaire et du collège, les programmes et les pratiques, le rôle des associations complémentaires… L’orientation scolaire doit être un levier pour la réussite des jeunes via un service public d’orientation de l’Education nationale doté de moyens importants et de personnels qualifiés.

    Tous ces dossiers doivent être ré-ouverts.



    Ainsi le processus de réforme du Lycée doit être relancé sans précipitation. Le calendrier fixé par le ministre est trop court pour construire la réforme ambitieuse que la communauté éducative attend, d’autant plus indispensable que la société est en crise.

    Alors que Luc Chatel affirme agir dans « un esprit de dialogue et de concertation » les organisations signataires de cet appel, lui demandent d’ouvrir dès la mi-septembre 4 chantiers de réflexion et de travail sur :

    - L’accès et la réussite d’un plus grand nombre de jeunes au Lycée et l’orientation scolaire.

    - Des contenus et des pratiques pour une nouvelle vague de démocratisation du lycée.

    - Un lycée qui ne soit pas seulement un lieu d’étude mais qui soit aussi un véritable lieu de vie et d’apprentissage de la citoyenneté et de l’intégration.

    - Une réforme qui permette à un maximum de jeunes d’accéder à l’enseignement supérieur et d’y réussir.



    Sur tous ces points, les organisations signataires s’adressent solennellement au ministre de l’Education nationale pour qu’il entende et mette ses actes en conformité avec ses paroles en donnant sans tarder de premiers signes concrets et en ouvrant les discussions nécessaires.
    Elles se retrouveront à la fin du mois pour faire le point et évaluer la situation et les réponses du ministre.

     

    Ne rajoutons pas à la crise économique celle de l’Education : INVESTISSONS POUR ELLE!

     

    Lucie Bousser
    Présidente de l'Union Nationale Lycéenne

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